| Overview : La République de Guinée s’est engagée dans plusieurs reformes dont celles des secteurs de la sécurité et de la justice, qui ont connu des avancées notables ces dernières années. L’Etat a continué de renforcer sa politique de sécurité à l’égard des personnes et des biens, puis a amélioré sa protection civile pour assurer un ″secours à personne″ plus efficace en toutes circonstances. Qu’il s’agisse des victimes d’infractions pénales (infractions commises avec violence) ou des victimes d’évènements collectifs graves (accidents, attentats, catastrophes, pandémies, etc.), l’Etat souhaite désormais qu’au-delà des atteintes physiques traitées dans les structures hospitalières, les répercussions psychologiques liées à ces expositions à la violence soient prévenues par des aidants et traitées par des soignants formés et organisés en réseaux structurés. En effet, nombre de blessés physiques deviennent des blessés psychiques s’ils ne sont pas pris en charge précocement. Le rapport qui sera produit comprendra un contenu du programme de formation (composé de différents modules selon le public visé – leaders d’opinion ; aidants, soignants), de la documentation spécialisée, et des conseils éclairés concernant l’information préventive et sa diffusion (aspect correspondant à l’accompagnement du processus de mise en œuvre). Le (ou la) consultant(e) international(e) veillera à la bonne coopération avec le (ou la) consultante national(e) en le (ou la) contactant régulièrement (par voie électronique, téléphone ou vidéo conférence) tout au long de l’avancée de leur travail. Le (ou la) consultant(e) international(e) mettra à disposition du (ou de la) consultant(e) national(e) son plan de travail. Ce dernier sera ajusté d’un commun accord puis transmis par le (ou la) consultant(e) international(e) au PNUD. Les deux experts intégreront les attentes et recommandations du point focal au sein du bureau du PNUD. Le (ou la) consultant(e) international(e) enverra ensuite le rapport final du PNUD. |
